LORE

Il était une fois, dans une contrée lointaine, un royaume au destin tragique. Des siècles auparavant, lorsque ses habitants s'y déplaçaient encore à quatre pattes, durant une pluie d'étoiles filante, l'une de ces dernières se cracha dans un champs, les éclairant d'une aura violette magnifique. Les habitants l'appelèrent la Pierre Stellaire

Personne ne put expliquer ce qui suivit. La moitié de ses habitants se virent attribuer des pouvoirs, ils pouvaient faire léviter des objets qu'aucun être vivant sur cette Terre n'aurait pu soulever, guérir des plaies auparavant mortelles. Ce pouvoir fut aussi utilisé pour la construction de nouvelles bâtisses au sein du Royaume.

L'autre moitié elle, se vit contrainte de reposer uniquement sur sa force naturelle, et donc de s'entraîner au combat, pour être paré à repousser de potentiels envahisseurs. Certains chevaliers n'appréciaient guère ce rôle, qu'ils considéraient comme étant le "sale boulot"

Le roi lui, encourageait les magiciens à s'améliorer toujours plus, pour construire toujours plus de bâtisses, guérir de plus en plus efficacement tout types de blessures. Face à tant de miracles, le roi lui même devint jaloux, et ordonna au peuple des mages de lui fabriquer un bracelet orné de fragments de cette pierre, pour : "hériter de ses pouvoirs et de ses bienfaits".

Les mages se mirent donc à fabriquer ce que leur roi leur avait ordonné de faire. Cela prit des jours et des nuits, ainsi que beaucoup de prototypes sans réel succès.

Le roi reçu enfin le bijou qu'il convoitait tant, et sans attendre, l'enfila à son poignet. Une aura violette l'envahie, de la tête aux pattes. Il s'esclaffa de joie, avant de disparaitre, ne laissant derrière lui que ses cendres, et un Royaume au cœur meurtri

Les jours qui suivirent étaient sombre. La mort du roi se fit pleurer par la plupart des habitants. Une statue fut même érigé à son image dans le village. L'amertume présent dans le cœur de certains, et le tensions, ne firent qu'empirer. Le trône se trouvant désormais vide, les chevaliers, autant que les mages, se mirent à le convoiter.

La guerre éclata au sein du Royaume. Les chevaliers accusèrent les mages du meurtre du roi, de vouloir accéder aux pleins pouvoirs, et prendre l'ascendant sur les autres habitants de ces terres. Tandis que les mages, accusèrent la stupidité du roi, d'avoir voulu jouer avec une force de la nature aussi dangereuse que celle de la pierre stellaire. Les mages se firent expulser du Royaume, sous la menace des armes, emportant avec eux la dîtes pierre. Ils détalèrent dans la forêt, et y installèrent un camp. Alors que les chevaliers continuèrent de vivre leur vie au sein du Royaume, enfin débarrassé du danger, qui selon eux étaient les mages.

La guerre éclata au sein du Royaume. Les chevaliers accusèrent les mages du meurtre du roi, de vouloir accéder aux pleins pouvoirs, et prendre l'ascendant sur les autres habitants de ces terres. Tandis que les mages, accusèrent la stupidité du roi, d'avoir voulu jouer avec une force de la nature aussi dangereuse que celle de la pierre stellaire. Les mages se firent expulser du Royaume, sous la menace des armes, emportant avec eux la dîtes pierre. Ils détalèrent dans la forêt, et y installèrent un camp. Alors que les chevaliers continuèrent de vivre leur vie au sein du Royaume, enfin débarrassé du danger, qui selon eux étaient les mages.

Désormais hors du Royaume, les mages préparaient leur revanche contre les chevaliers, les considérant comme des traitres. Après tout ce qu'ils avaient fait pour eux, à l'aide de leurs pouvoirs dans le Royaume. Mytikas, un mage plus qu'instable et remonté, prit les devants, et organisa l'offensive contre ce Royaume, qui, autrefois, était aussi le leur.

Le conflit revint alors de plus belle aux portes du Royaume, après que les mages lancèrent une ultime offensive contre ceux qu'ils considéraient comme un peuple de traitres. Pendant que les chevaliers eux, le protégeaient d'une énième attaque d'un peuple aux intentions hostiles. Faisant de leur mieux pour protéger ce qui à leurs yeux, leur était le plus cher. Une chose était sûr pour les deux camps, ce conflit serait le dernier